Si le temps ne s’effaçait,
Et si l’espace ne s’étendait,
Il n’y aurait aucun lieu.
Quand celui-ci vint à parler, il révéla le lieu et le non-lieu. Quand le temps cessa son activité, le souffle devint réel. Vois-tu comme cela est éloquent ?
Si le temps ne s’effaçait,
Et si l’espace ne s’étendait,
Il n’y aurait aucun lieu.
Quand celui-ci vint à parler, il révéla le lieu et le non-lieu. Quand le temps cessa son activité, le souffle devint réel. Vois-tu comme cela est éloquent ?
Aucun lieu c’est la définition de l’utopie (utopia).
L’île déserte pour moi. Pas de contrainte.
Quant au temps, tu gommes le jour et la nuit ?
Très beau texte.
Je m’interroge sur « semence » dans le nom de ton blog.
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Aucun lieu est un état d’être, donc, loin d’être une utopie. Ici, il n’est plus de temps, ni espace, et donc, la nuit et le jour, font partie du temps mesurable, du temps symbolique… renvoyant encore, à un état d’être.
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C’est ce à quoi je pensais également. Les yeux fermés ou dans l’obscurité, ne plus penser à rien que ce qui vient de l’imaginaire. N’être distrait par aucun bruit…
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Alors, le lieu du silence, sans bruit, sans projection, le goût de …
Il faut une vie (ou plus) pour cela.
Mais quelle merveille !
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J’imagine un jour rencontrer quelqu’un sans qu’aucune parole ne soit échangée. Juste le regard et l’impression qui s’en dégagent.
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Si vous l’imaginez, c’est que cela est en vous !
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Oui, le regard et l’écriture qui s’en suivent, sont épanouissants et beaux
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J’aime l’image.
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🙂
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