L’on s’exile de douceur, sur un chemin de feuilles éparses, puis l’on s’arrête définitivement par le geste d’une main amie et l’on se laisse à cette hébétude, l’éternité. Le périple vient de commencer et je suis encore à regarder le papillon voler. Ne t’ai-je pas, une fois de plus, retrouver Ô Maître ?
Pingback: Un ermitage onirique | Pays de poésie