Nous naissons comme nous nous défaisons, comme défroissés par les amoncellements et ne jamais plus vivre emprisonnés, ne plus suivre les traces du labyrinthe et de nouveau s’émerveiller de ne savoir plus rien.
Nous naissons comme nous nous défaisons, comme défroissés par les amoncellements et ne jamais plus vivre emprisonnés, ne plus suivre les traces du labyrinthe et de nouveau s’émerveiller de ne savoir plus rien.