La lenteur d’un long chemin, celui que l’on ne souhaiterait jamais quitter est en dehors de tout espace et de tout temps, quand même nous serions née ici, je ne me reconnais pas dans les violences conjuguées des engins motorisés. Je suis née avec ces rugissements, mais je reste toujours inadaptée et ces routes de fer et de béton me sont intégralement et définitivement étrangères.
Merveilleuse!!
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Merci beaucoup…
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🙂
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