Quand il n’est plus aucune issue, j’entends le roseau souffler sur l’eau. Il danse sur des plissements infinis de vie, et si la tristesse s’attarde sur les côteaux, il suffit de s’y arrêter et la douceur nous prend dans ses bras. Parfois, l’on entend rugir le lion et parfois, l’on écoute la sauterelle. Tant de différence dans la forme, dans le poids, dans les couleurs, et malgré tout, au loin, j’entends le chuchotement de la fourmi. Une seule fourmi, et le ciel se remplit.