
Les eaux clapotent,
Des clignements du jour,
Regard suspendu.
Douceur des sons scintillants, printemps d’eau, et la clameur d’un Destin qui nous arrête. Ai aperçu une enfant penchée sur les gravillons, les genoux brunis par les cailloux, puis l’eau jaillir d’entre son cœur, le reflet d’un ailleurs et nul temps ne saisit subtil l’instant.
Incrustation d’une miniature dans le tableau. Ce que vous dites est beau
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Merci Marronbleu. Je dirais « presque » : ce que l’on décèle nous révèle.
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« Printemps d’eau », que j’aime!
Вешней воды царь не уймёт, вода путь найдёт. / Le tsar n’arrêtera pas l’eau de source, l’eau trouvera un chemin.
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Magnifique ! Oui, l’eau trouve toujours un passage. Ainsi est l’inépuisable source.
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« le reflet d’un ailleurs » – c’est merveilleux, chère Béatrice.
В мутной воде отражение не увидишь. / Тu ne peux pas voir les reflets dans l’eau boueuse.
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💙🌊
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Dans le murmure de l’eau, une mélodie d’où chantent les oiseaux
Alors elle chante… avec des sourires… des danseurs… et des fleurs
L’horizon est rempli d’échos de sentiments
Le soleil envoie un rayon de joie
(Mohamed Al Ghandour, poète égyptien)
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