
La flûte chante,
Le corps lisse l’eau,
Plissement d’onde.
Comment ? Toi, oiseau se penche et donne une leçon. Je t’entends et mon âme effleure l’eau.
La flûte chante,
Le corps lisse l’eau,
Plissement d’onde.
Comment ? Toi, oiseau se penche et donne une leçon. Je t’entends et mon âme effleure l’eau.
et Mozart est là 🤍
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La flûte enchantée…
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Ondine se mire
L’eau de là
Au ciel voilé
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Ondine rit de se voir en ce miroir, n’en fait pas grand cas !!! ❤
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j’aime beaucoup. merci Bèatrice. 🙂
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Merci beaucoup ! 🙂
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Le ciel est, par-dessus le toit,
Si bleu, si calme !
Un arbre, par-dessus le toit,
Berce sa palme.
La cloche, dans le ciel qu’on voit,
Doucement tinte.
Un oiseau sur l’arbre qu’on voit
Chante sa plainte.
Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là,
Simple et tranquille.
Cette paisible rumeur-là
Vient de la ville.
– Qu’as-tu fait, ô toi que voilà
Pleurant sans cesse,
Dis, qu’as-tu fait, toi que voilà,
De ta jeunesse ?
Paul Verlaine, Sagesse (1881)
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Beau poème de notre enfance…
Merci Ahmed.
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Je t’en prie Béatrice. Verlaine l’avait composé quand il était incarcéré pour avoir tiré sur Arthur Rimbaud si je me rappelle bien.
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