
Le rougeoiement du cœur,
Semblable au désir insatiable,
Les effluves d’un voyage.
Où s’en est allé le bruit furtif des ailes,
Noyé par les rougeurs du ciel ?
Et où s’en est allé le regard incertain,
Aux sillons brefs du matin ?
Où s’est donc alangui le soleil,
Quand les oiseaux s’échappent au firmament vermeil ?
Les a-t-on suivis sans que rien ne nous retienne,
Ou bien s’est-on appesanti sur ce que crayonne
Un cœur tout étourdi ?
Reviendront-ils nous donner quelques nouvelles,
Là où leur bec pointe ivre et, l’étendard qui flotte
Au sommet d’un autre monde ?
Je vais avec eux sans plus attendre,
Ces ailes frémissantes et haletantes
Sont de loin mon périple favori.
Voir aussi
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Monstre tentaculaire,
Puis, vient le combat,
Hors du combat légendaire,
Un dragon fut mis à terre.
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Bravo
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Bravo à vous !!!
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Le regard en avant après s’être lancé de la branche s’est absout d’arrière-pensée
Léger d’absence de tare arbitraire
Arrivé de l’autre côté il n’a senti qu’un appui glissant sous ses pieds
et personne à qui demander si c’était bien là qu’il voulait allé
C’est à voir entre que la question se pose de savoir lire…
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Là où partout le voyage nous emmène est une connaissance en soi. Glisser, parce que la peur, parce que la résistance. Aujourd’hui, ailes, frémissantes, ivres, aimantes, sans limites, le regard intérieur. Le cœur n’a pas menti. Toujours après le tumulte, la douce heure.
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L’aimant positive le meilleur endroit pour construire
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Je me suce le dois Béatrice
Ça aide à voir le chemin qui mange à la carte
Gourmand.
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Je n’ai pas tant cette fougue, mais, je puis la comprendre. Béatrice n’est pas une femme. C’est au-delà, une fois accomplie. Comment pourrai-je être ainsi ? Le voyage nous a prise…
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Au voyage l’arrêt en gare rend l’avis des jambes
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Oui !!! C’est vrai.
Bon dimanche Alain.
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Je dis vrai pour twoo jour bon, Béatrice.
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Oui !!! Bien sûr.
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Dit la femme retrouvée
en montant dans le train.
le-peintre-niala@orange.fr
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Un autre poème de toi, ma chere Beatrice.
Pour commencer notre semaine en beauté avec vos mots.
Bonne semaine et bonne journee.
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Merci cher Giannis.
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Pingback: Les ailes – The best for me
Je voyage, seul, sur mon tapis volant
Survolant ainsi des contrées tropicales aux senteurs de jasmin,
Alors qu’à l’horizon, la lune décline, lentement,
Je cueille, au passage, des fleurs aux vertus bienfaisantes, pleines de parfum.
(Gilles50)
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