
Je cherchais l’écriture,
Plongeai dans l’abîme :
Les mots se mirent à parler.
C’est elle qui me trouva et me façonna. Elle cogna fort tout contre ma poitrine, et la coque s’ouvrit dans le plus grand des fracas. Je gravis une montagne, puis une autre. Je courais à travers la blancheur aveuglante, et j’allais dans l’encre noire de la nuit. Qui me guida ? Les mots furent des flèches et me transpercèrent. Il en plut un ciel, que dis-je, un univers ! Je cueillis les flèches et le carquois. Tous se transformèrent et devinrent les profondeurs d’un grand voyage.
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Bon week-end mon amie de mon coeur.
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Merci mon ami. A toi aussi, bon weekend !!!
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Un très beau texte, merci.
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Merci à vous.
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Très beau ☺
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Merci beaucoup Lucia. ❤
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Le conteur d’aujourd’hui est le lecteur d’hier et demain encore, conteur et lecteur se connaissent.
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