
L’insondable fracas,
La nuit s’éclaira de terreur,
C’était le pas du Roi.
J’entendis un déchirement, puis un autre, puis le ciel éclata et l’on vit s’ouvrir l’improbable. Mon âme se disloqua, mille fois puis encore mille fois, lors qu’elle devint une multitude de miroirs. Ensuite, le Ciel réunit les Terres et les Cieux. Le corps trembla une nouvelle fois. La secousse fut terrible. Par la pupille fendue, je vis ce que nul œil ne pouvait voir. Alors, du chaos, s’organisa un autre monde et le soleil, peu à peu, devint une lumière douce et féconde.
L’on aimerait se taire, et l’on aimerait pouvoir le dire.
Un récit semblable ne sort pas de nulle part.
Merci, et c’est peu de le dire, Béatrice.
Il est une octave indéniable qui nous appelle.
J’aimeAimé par 1 personne
L’intervalle, l’apnée…
Merci Basile.
J’aimeAimé par 1 personne
A whole new world under a new sun, my dear Beatrice. Very beautiful.
Bon week-end ma chere.
J’aimeAimé par 1 personne
Très cher ami, je te remercie beaucoup.
Je te souhaite aussi un beau et paisible weekend.
J’aimeAimé par 1 personne
Voir
J’aimeAimé par 1 personne
Très beau texte, merci !
J’aimeAimé par 1 personne
Les cieux et la terre étaient un puis furent ce monde que l’eau rendit vivants.
J’aimeAimé par 1 personne
digne de Hölderlin…
J’aimeJ’aime
Oh ! Je ne me l’imagine même pas…
Néanmoins, je vous remercie, Mustapha.
Vous m’avez donné envie d’aller me promener du côté de Hölderlin…
J’aimeJ’aime