
Par le Souffle inné,
A l’aube où frémit la voix,
Par l’incandescence des sons retrouvés,
L’abîme d’un océan de clameur,
Epandues de lumière et de vérité,
Entends la nostalgie qui pleure !
Par le Souffle incantatoire !
Voici le corps hébété,
S’élevant d’un tire-d’aile,
Puis de surgissements soudain et de vagues éternelles,
A la source de la présence,
Ton Nom jaillit sans briser le Silence,
Aux oreilles émerveillées du cœur.
Là-bas, l’instant effleure l’espace réel,
Baigné de certitude palpable et de toute beauté.
Comme s’abolissent nos aspérités,
Montagnes aplanies par notre constance !
Comme sont vaines les hostilités !
Nous sommes nés puis nous sommes morts ;
Quant à l’âme, elle, Reine de majesté,
Vénérable et noble Amour,
S’émerveille encore de l’infini voyage,
Demeure si proche et si belle,
En rapporte ici ou là quelques nouvelles,
Après avoir saisi le secret de l’éternité.
Voir
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… ainsi que
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Quel cantique primordial ! On a l’impression de remonter loin, loin…
Merci Béatrice pour ces envolées.
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Merci Basile.
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