
Es-tu venu, Pourquoi partir ? - C'est ainsi que je verrai. As-tu enfin perçu ? - Le début m'a beaucoup révélé. La transparence à l'aurore. - Qu'es-tu devenu ? Le jour s'est levé. - M'aimes-tu encore ? L'étreinte n'a jamais cessé, - Es-tu sûr ? Oui, oui, les gouttes de rosée. - Comment m'as-tu aimé ? Un homme aime sa Bien-Aimé, Je t'aime d'une essence virile, D'une sève si féminine La source a dilaté, Le cœur n'a cessé de te parler, Ai-je bien aimé ?
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Peinture de Angelica Privalihin
Votre écriture est érotique aujourd’hui, chere amie. Et j’en suis très heureux. Je vis avec l’aura dans les sens. De beaux rêves pour ta nuit Beatrice.
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Étonnamment, cher Giannis, ce n’est pas à dessein érotique que mes mots se sont alignés, mais, le monde de l’esprit est aussi très sensuel, je le reconnais. Ensuite, le lecteur accueille ces mots avec sa propre sensibilité. Cela aussi est vrai. De toutes les façons, il n’y a qu’une seule réalité, quand même elle se décline selon nos perceptions singulières.
Merci cher ami, et je vous souhaite un bon vendredi.
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