
Je reviens par ma Femme, cet esprit que porte aujourd’hui mon corps et je reviens achevant l’exiguïté de toutes les réductions, car la Femme n’a d’autre réalité que de monter sur les cimes de la toute réalité. J’aime cette rencontre de l’âme féminine, puissance incarnée qui vainc toutes les aspérités et au culminant de son cœur, résorbe toutes les résonnances, ombre et lumière, fait fusionner Yin et Yang, les embrassant d’une même âme. La force de la voix de l’Occident épouse enfin l’Orient par l’élan du Divin et j’aime jusqu’à l’effacement, lors d’une répétition mantrique, battement rythmé du cœur. Cette Femme n’est pas une femme, mais toutes les femmes. Cette femme n’est pas un homme, mais tous les hommes. Voilà ce que me révèle ce puissant chant de l’unité. La paix est le véritable royaume, sans projection, sans attente : effusif Amour. C’est ici que je vis, sans besoin, libérée de ce qui n’est pas… Quelques nénuphars sur un étang.
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Peinture de Do Duy Tuan
Le lecteur Yin alimente le scripteur Yang, qui lui éclaire ses lectures.
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Dynamisme intérieur assez déroutant et c’est au Centre que l’on voit par le Centre et il n’est de voyage entre le Yin et le Yang que par ce Centre rendu visible par l’effet surprenant de la pratique du souffle, de la présence… Quelque chose se passe…
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A mulher já é por si só a beleza que falta em alguns homens que se acham o máximo. Viva as mulheres, se não fossem a coragem dessas heroínas não estaria comentando esse texto.
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Oh, muito obrigado ! Para homens, para mulheres. Para a Humanidade.
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L’amour universel entre les peuples est le seul garant de la paix.
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