
J’ai marché de travers sur un trottoir, penchée sur les effets miroitant de la pluie, l’humeur joyeuse, éclaboussant l’ordre par trop rectiligne et il m’a fallu de longues années pour ne jamais me défaire de l’air taquin qui flotte dans l’air. Que voulez-vous, C’est ainsi. Je ne cache pas ma joie, même au milieu d’un magasin et quand je vois les gens mornes déambuler avec leur masque, il me faut briser leur muselière. D’avoir été si sombres, les hommes ne rient plus. Ils ne dansent plus et jouent à être des adultes mortifères. Quand ils se prennent d’euphorie, il leur faut quelque verres de whisky. Je n’y ai jamais cru. Je dis bravo à la vieille dame qui a oublié son masque et nous sourions toutes les deux, complices. Un homme, qui avait baissé son masque blanc, lance, dans le train, à un contrôleur, qui le rappelait aux règles sanitaires : respirez à ma place si vous le pouvez ! Oui, respirez, respirez fort le bon air de l’hiver et ressentez les gouttes de rosées vous caresser le visage. Vive le ciel, et vive le bon air à pleins poumons ! Que voulez-vous, il s’agit de ma folie et sans whisky, je vous prie !
Veuillez considérer cela comme le plus extravagant des interludes qui se puisse être.
un interlude joyeux aussi, merci ! très bonne soirée
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Merci beaucoup. Bonne soirée aussi Louise. 🙂
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Très agréable à lire ! Merci 😘🌹
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Merci Swannaëlle. 😘💐
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一心一徳
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Le futur printemps
Est déjà dans nos poumons,
Joyeux interlude.
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春天
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Printemps perpétuel,
Le cœur est toujours joyeux,
Douce promenade.
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