Sers-nous fort ce matin frileux,
Encercle-nous de montagnes fantomatiques,
Quand vient se déverser l’écume d’un ciel bleu,
Viens donc et nous prends pour toujours
Au centre du regard énigmatique,
Libère de légèreté les ailes de l’oiseau,
Quand du brisement d’un rayon,
Le marronnier nous attend avec amour.
Frémit l’effeuillement des frondaisons,
Du clair-obscur des vibrantes parures,
Le doux murmure aux battements du cœur,
Sans peine ni langueur ; être.
Je redescends des côteaux avec lenteur.
La ville s’éveille des gisements de la veille.
Vois-tu les serins éclore des vents marins ?
C’est vraiment magnifique
J’aimeJ’aime
Merci à vous d’accueillir ce Marronnier…
J’aimeJ’aime
Merci Béatrice, encore un joli texte 🌹
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Swannaëlle pour ta jolie présence. 🌹
J’aimeAimé par 2 personnes
Pingback: Les fourmis du marronnier | Pays de poésie
Belle étreinte que ce poème. Merci.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Alexandre pour votre lecture.
J’aimeJ’aime