
Je rencontrai le musicien assis sur le sol défriché de son âme. Il chantait la solitude de quelques vieux refrains venus d’Orient. Je le rejoignis en silence.

Jamais ne me quitte, Ô voix !
Comme tu perces mon cœur transi,
J’ai marché longtemps jusqu’à toi,
Eperdue de nuit,
Comment puis-je te quitter alors ?
Sur les versants fleuris du passé
La neige danse encore,
Jamais ne me quitte, Ô voix !
L’éternité parle de ma langueur,
Qu’as-tu fait de moi ?
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Coucou bonjour Béatrice.
Tu es vraiment une très bonne poète j’aime beaucoup tes poésies et j’adore grave
Comment t’arrive à s’inspirer .?
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Merci Landry. 🙂
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