Minuscule et délicate araignée qui court prestement, loin de la main humaine puis enroule de griserie la toile du temps, suspendue au dessus d’un temple. J’ai ri de te voir et suis partie riche de ta complicité. Combien de fois avons-nous convenu d’une entente cordiale ? Je sais que tu m’as entendue et nous vivons toutes deux avec beaucoup de légèreté.
Dans « ma » maison d’Auvergne, des araignée y vivent. En accords quand nous sommes là nous nous croisons et nous convenons de ne pas nous revoir durant quelques temps. Nous nettoyons leurs toiles très utilisés et laissons les jeunes toiles. Et la veille de notre départ, toujours elle viens nous dire au-revoir. Alors votre poème est un vrai bonheur.
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Il semblerait que nous ne soyons pas très loin géographiquement…
De fait, je fais exactement la même chose avec mes amies araignées.
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