Le matin arbore ses éternelles ramures et quand le rossignol s’invite au jardin, l’on revoit, sans que, semblable détails n’effacent le précédent, quelque chose qui traverse le ciel. Le silence plane accroché au vol d’un oiseau royal.
Le matin arbore ses éternelles ramures et quand le rossignol s’invite au jardin, l’on revoit, sans que, semblable détails n’effacent le précédent, quelque chose qui traverse le ciel. Le silence plane accroché au vol d’un oiseau royal.