Nous sommes prompts à nous défendre d’une chose qui ne nous appartient pas. Pourtant lorsque chante l’oiseau, il sait la plénitude entière de son chant. Le cœur irradie. Ce qu’il y a en nous, nous le trouvons et nous n’avons plus besoin de nous défendre de rien. Ce qui est, l’est à tout jamais.