A force de voir les couleurs semées aux quatre coins du monde, ces évasements de sonorité complexe, ces étreintes vives et palpables, transfiguration des corps de beauté, sensibilité des terres ivres, libres de toute pensée, que se passe-t-il dans la suspension du regard ? Que se passe-t-il quand le cœur s’oublie dans les abîmes de l’envolée jubilante ? S’appartient-il encore ?