Fragilité du faon aux yeux humides,
Votre voix qui frémit dans le creux
Des charmilles, homme des rocailles,
Vos longs cheveux flottants qu’illuminent
Les frondaisons et le bruissement généreux,
Du cœur perdu dans les moindres détails
D’un univers à peine éclos et qui pourtant nous domine.