Grâce et souplesse

Quand donc sommes-nous responsables ?
Quand donc avons-nous fauté ?
Quand l’éternité a fui nos carnations,
Tout le monde s’est mis à éternuer.

Pour tout réintégrer, il faut certains labyrinthes.
Sommes-nous en prison pour l’éternité ?
Je préfère, quant à vivre toujours,
Choisir un nid nimbé d’amour.
Il y a bien longtemps, quelqu’un me confia ce secret.
Mais de quel amour parle-t-on ?
Celui qui dure un jour
Ou bien ou bien l’amour de toujours ?
S’il fallait butiner, j’irai ça et là
Et je ramènerais des légèretés.
Quant à mourir, mourons noblement.
Libre comme le vent et éternuons de nouveau :
Grâce et souplesse d’une question.

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