Ironie du sort

L’on voudrait se suspendre,
A l’amour frileux,
Au milieu des bois,
Perdu,
Dans je ne sais quel scénario,
Puis rire de joie,
Comme ne pas…
Quand il n’est aucun sens,
Il n’en est pas.
C’est alors qu’un monstre surgit,
Du fond des gorges mendiantes,
Et le fin mot fut de surcroît.
Quelques ombres nécrophiles aux abois,
Quel jeu dans la perdition de narcisse,
Ou bien est-ce la dérision du moi ?
Ne jamais se moquer des friandises.
Je ne dis pas que le macabre,
Dans le fond est une horreur,
Mais cela me surprend,
Quand de sens il n’en est pas,
Alors, par où dois-je aller ?
Non, non, ne me le dites pas,
Ça ne se fait pas.
J’ai rencontré le sort.
Croyez-moi !
Il ne joue pas.

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Une réflexion sur “Ironie du sort

  1. Pingback: Se perdre en forêt | Pays de poésie

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