La vie qui ne tient qu’à un fil,
Effervescente de jaillissement,
N’attend pas qu’on l’invite,
Elle vous prend sauvagement,
Dans les forces vives,
Quand même, rien ne change,
Et l’on vous parle simplement,
Alors que le jardin s’invite,
Les fleurs rafraîchissent,
Les bleus d’un romarin,
Et l’abeille butine comme avant.
Plus loin,l’orage se prépare-t-il ?
Bon jour,
Il y a toujours un orage au dessein de s’époumoner …
Max-Louis
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Certainement Max-Louis. De nous décharger sans doute aussi… Il est vrai que ce soir, le temps semblait vouloir tourner à l’orage, mais celui-ci a fini par aller dans les montagnes, se réfugier…
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