Les uns pourchassent les autres,
Mais au demeurant ne savent plus pourquoi,
Quand de mes mains,
Je grave le nom de l’instant.
J’ai bu à l’eau fraîche
Et mangé à l’amour,
Sans me soucier de demain.
L’on m’a dit : comment fais-tu ?
Le vent a touché l’ininterrompu.