Du son vague et martelé,
Au blanc d’un destrier,
Crinière des transpirs,
Quand le corps,
De l’homme,
Au corps de bête,
Suggère ta folie,
Enchaînés,
Entrelacés au souffle.
Crinière noire,
Envolée,
Aux mains agrippées,
Notre échappée,
Vent immaculé,
Ni soleil,
Ni aridité,
Dans le soubresaut,
Robe d’azur,
Sans fin,
Course échevelée.
Qui s’envole ?
Le parchemin m’a guidé.
Pingback: Noirceur et blancheur | Pays de poésie