La rumeur de l’hiver
Devance notre esprit,
Et parce que le froid mord,
Le vent nous inspire,
Et le corps d’élire,
Les promesses du bois mort,
Quand tout désir,
Révèle l’âme alanguie,
Mais la nostalgie nous aspire,
Sans qu’une seule feuille,
Volée à l’automne,
N’ôte le moindre de nos soupirs.
Au seuil de la grande porte
C’est la paix qui nous respire.