Sur les steppes où souffle le vent durant de longues décennies, quand les herbes courtes côtoient le ciel caracolant, l’âme est ivre du regard. Les chevaux frôlent du sol les sabots qui résonnent : l’impétueuse présence ! Les yeux se sont plissés et fusionnent avec l’éternel chant. Entends ! La voix poursuit languissamment le silence ; l’écho d’une danse…