Le jardin se recueille et il pleut des pétales de rosées sur le voile caressant du vent. Le mouvement s’y suspend, inlassable, comme une virgule s’épanchant, et dans l’embrasure d’une porte, le lointain rivage des feuilles caracolant à la bouche du ciel m’enlaçant.
Les feuilles sont muettes
et souvent immobiles
quand elles sont vivantes,
mais elles dansent,
Une fois mortes et abandonnées.
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Frémissant silence,
Au printemps de l’arbre vivant,
Le feu automnal.
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