C’est le soleil qui pleure des larmes, et lors que je te vois arriver, lentement, le lac entier devient les miroitements d’effluves de milliers d’étoiles. Ta beauté singulière surgit, je le sais, des profondeurs de la terre, celle de tes ancêtres et, je le sais aussi, les muscs savants de ton boisé m’émeuvent jusque-là. Les arbres dansent et jamais je n’oublie la ferveur de tes yeux, plissés d’humour, de force aussi, la force d’un homme qui a vécu. Tout est puissant de chaque moment passé à te regarder. Le monde devient aussi large, aussi libre que le cœur en émoi d’une femme qui te voit. Puis la vie se vêt des couleurs de l’arbre, celui de l’envol secret, et je ne sais pas ne pas t’aimer, te balbutié-je, alors que le soleil verse sa pluie alentour.
Sensible et lumineux dans le sentiment.
J’aime beaucoup. Vraiment.
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Merci Laurence.
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