La lumière ne s’éteint jamais au cœur même de l’oubli. Longtemps, très longtemps, je souris à la beauté ineffable, qui en l’harmonie murie, aplanit les rugosités d’un espace, celui qui n’a jamais existé, excepté dans le rêve révélé et improbable d’un homme endormi. Douceur inextinguible des glissements de la pluie sur la vitre étoilée de ton cœur. Ciselée à l’aune d’une plaine enchantée, les nuages écartent les voiles de ton infinité.
🙂
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J’aime bien ces courtes parenthèses qui emmènent sur des pistes de réflexion ou d’inspiration….
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