J’ai découvert le cœur d’un homme, m’y suis attardée ; il avait tant à dire et j’ai écouté ses paroles, des paroles d’éternité qui me parlent de chemins empruntés. Il a dit : un à un, j’ai perdu mes maîtres, les verbes, toutes les bonnes choses à connaître et celles que l’on tait, celles qui sont des secrets, ces mots que seule la nuit peut porter. J’ai voulu me poser sur les plus hauts mystères de son silence et ne plus respirer, juste être sur l’épaule de son âme devenue l’endroit le plus sacré.
Merci pour ces mots.
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