Me voici, me voici, me dis-tu en cette intention scandée de souffle et je ne sais plus rien qu’aller sur le sentier qui occupe entière mon aspiration, tandis que voir se profiler ta silhouette donne à chacun des arbres qui bordent la route la plus sublime des apparitions. Tu n’as pas besoin de marteler du pied, puisque le cœur attentif prend la mesure de toute chose et, à cet instant, extrait du silence, le présent te rejoint en l’arche qui fait de moi ton attente. Tout cela t’est dédié, et il pleut pudique un entrelacement de joie. Me voici, me voici…
Sublime et prenant)*
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